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La location saisonnière, c’est tendance ! Les offres affluent et se multiplient dans toute la France. Difficile pour les propriétaires de ne pas se retrouver noyés dans le flot d’annonces de locations saisonnières. A travers nos conseils en location saisonnière, apprenez à connaître votre cible pour bien louer et répondre à ses attentes. L’essentiel est de savoir faire la différence et déclencher un coup de cœur. Démarquez-vous de vos concurrents pour louer rapidement avec nos astuces de location de vacances !

1 – Rédigez une annonce qui cartonne pour bien louer

Un texte bien rédigé, clair et concis, accompagné d’un titre accrocheur : voici le combo gagnant pour une annonce de location saisonnière efficace. Ne soyez pas avare en détails ! Plus votre annonce sera complète, plus la description de votre location saisonnière attirera l’attention. N’hésitez pas à vous inspirer de vos concurrents tout en évitant les copier-coller. Votre annonce doit être unique et faire rêver sans être mensongère.

Patricia, Barre-des-Cévennes : « Je n’hésite pas à ajouter des informations sur les atouts et les activités touristiques de la région dans mon annonce. Cela donne une idée aux vacanciers de ce qu’ils pourront faire. »

2 – Prenez de belles photos pour illustrer votre annonce

Avant de lire une annonce, l’attention de l’internaute est captée par les visuels. Il est donc important de soigner les photos que vous ajouterez à votre annonce et plus particulièrement la première qui sera reprise en miniature dans la liste des résultats. Pour mettre en valeur votre bien, n’hésitez pas à faire appel à un photographe si vous n’êtes pas un expert en photo ou que vous n’êtes pas très bien équipé. Une belle lumière, un objectif grand-angle et une légère retouche sous Photoshop feront leur petit effet. Notre conseil : n’hésitez pas à créer des ambiances avec une table de petit-déjeuner garnie par exemple.

3 – Soyez disponible et réactif pour louer rapidement !

Un vacancier adresse souvent plusieurs emails aux propriétaires pour échanger sur les dates de leurs vacances, le prix, l’équipement ou demander quelques détails. Il souhaite avoir des réponses rapidement et favorisera le premier qui lui répondra. Selon les statistiques, vous avez 2,5 fois plus de chance de louer rapidement votre location saisonnière si vous répondez dans les 3 h que si vous attendez plus de 12 h. Pour vous permettre de répondre rapidement aux potentiels locataires, nous vous conseillons de rédiger une réponse type que vous pourrez personnaliser facilement.

Sarah, Cap-Ferret : « Avant, je mettais parfois deux ou trois jours à répondre aux demandes. Plusieurs me sont passées sous le nez. Je réponds maintenant dans les heures qui suivent grâce à mon téléphone mobile. »

4 – Trouvez le juste prix

Pour bien louer et louer efficacement, il est important de ne pas sous-estimer ou sur-estimer votre location saisonnière. Auquel cas vous pourriez ne pas rentrer dans vos frais ou ne pas trouver de locataires. Ce qui, dans les deux cas, vous ferait perdre de l’argent et du temps. Plusieurs sites proposent des calculatrices pour vous permettre d’estimer vos revenus locatifs et le meilleur loyer. Si vous louez pour la première fois, mieux vaut être légèrement en dessous du tarif moyen pour vous faire connaître, renseignez-vous.

5 – Soyez aux petits soins

Les vacanciers aiment être chouchoutés ! Vous pouvez prévoir des petits cadeaux de bienvenue pour vos locataires tels que des produits du terroir, une bouteille de vin ou même des bons de réductions avec des partenaires locaux. Vous pouvez également « offrir » des objets de consommations courantes tels que du papier toilette, des produits d’entretien et des sachets de café ou de thé. Autant de petits détails qui peuvent faire la différence, vous aider à louer rapidement et donner envie à vos locataires de revenir ou de conseiller votre location de vacances à leurs proches !

Monique, Bergerac : « J’ai la chance d’avoir un logement dans une région gastronomique. J’en profite toujours pour offrir des produits régionaux à mes locataires pour leur souhaiter la bienvenue. Après tout, qui n’aime pas les cadeaux ? »

6 – Donnez une âme au logement

Fini les décorations désuètes ! Pour valoriser votre location saisonnière, il est important de soigner la décoration de chaque pièce. Vous pouvez jouer sur le thème bord de mer si votre logement est proche de la plage, la carte champêtre s’il est à la campagne, l’ambiance cosy pour un chalet ou encore l’esprit loft pour un appartement parisien. L’essentiel est de savoir créer une atmosphère conviviale où vos locataires pourront se projeter à la lecture de votre annonce et se sentir comme chez eux une fois sur place.

7 – Proposez un logement équipé

Pour vous démarquer de vos concurrents, nous vous suggérons de louer un hébergement bien équipé. Une machine à laver, un lave-vaisselle, une cafetière électrique, un grille-pain, un four, un sèche-cheveux : tout ce qui permettra à votre locataire de se sentir comme chez lui et de profiter de ses vacances pleinement, sans avoir à se soucier de toutes les corvées quotidiennes. Vous pouvez équiper votre logement d’un lecteur DVD, d’un salon de jardin, d’un four et même proposer des équipements pour bébé ou le linge de maison. Certains équipements, comme la télévision, la machine à café ou le Wi-Fi sont obligatoires pour beaucoup de locataires.

Danièle, Vannes : « Avec l’arrivée de mes petites-filles, je me suis rendue compte qu’il n’y avait jamais rien pour les enfants dans les maisons de vacances. J’ai décidé de proposer un lit parapluie, des jouets, un toboggan et une mini piscine pour mes vacanciers. Les familles adorent ! »

8 – Faites classer votre logement

Gage de qualité, les labels liés au tourisme permettent de louer plus facilement aux vacanciers français, mais aussi anglais, allemands, belges ou encore canadiens. En effet, il faut répondre à certains critères pour obtenir 1 à 4 étoiles. L’un des plus connus, « Meublé de tourisme », offre une belle visibilité sur Internet. Certains sites et agences de locations saisonnières ont créé leurs propres labels pour mettre en valeur votre location de vacances.

9 – Demandez des appréciations à vos locataires

Vous pensez que personne ne lie les commentaires ? Erreur ! Les vacanciers aiment lire les avis laissés par les anciens locataires pour comparer les annonces de locations saisonnières avant de se décider. Cela les rassure. N’hésitez pas à envoyer un mail à vos locataires pour les inviter à vous laisser des commentaires (sans oublier d’y répondre pour les remercier).

Marc, Loches : « Au départ, je n’osais pas demander de commentaire. Je n’avais pas envie d’imposer cela à mes locataires. J’ai découvert qu’il le faisait avec plaisir pour me remercier du séjour et j’apprécie les suggestions d’amélioration. »

10 – Soyez empathique !

Dernier conseil pour votre location saisonnière : mettez-vous à la place de vos locataires ! Qu’aimeriez-vous avoir dans votre location de vacances et qu’il n’y a pas chez vous ? Quelles petites attentions vous feraient plaisir ? Vous êtes votre meilleur allié pour savoir ce que vous aimeriez (ou pas) retrouver lors de vos vacances et la meilleure source d’inspiration pour trouver des idées originales qui plairont à vos futurs locataires.

Nous espérons que ces astuces pour votre location de vacances vous aideront à mettre en valeur votre bien. Sachez que de nombreux professionnels, comme maeva.com, mettent leur expertise à votre service pour vous offrir leurs conseils en matière de location saisonnière.

Les arnaques à la location de vacances sont plus fréquentes qu’on ne le pense et ne touchent malheureusement pas que les vacanciers. Pour louer sans risque, vous devez, en tant que propriétaire, prendre quelques précautions simples et apprendre à démasquer les arnaques.

Quelle caution demander pour une location saisonnière ?

Contrairement à la caution demandée pour une location classique à l’année qui consiste à protéger le propriétaire en cas de loyer impayé, la caution demandée pour une location saisonnière a pour but de protéger le propriétaire en cas de détériorations, et ce, même si vous avez souscrit à une assurance. Il ne faut pas la confondre le dépôt de garantie avec l’acompte, qui est une avance sur le prix de la location. Le dépôt de garantie n’est pas obligatoire, mais il vous permet de louer sans risque votre logement, d’éviter les arnaques à la location de vacances et de sensibiliser votre locataire afin qu’il prenne soin des lieux et des équipements.

De manière générale, la caution se situe entre 20 et 25 % du montant de la location. Elle peut être payée en espèces, par chèque, par virement bancaire ou par PayPal. Le prix du dépôt de garantie doit apparaître sur le contrat de location, accompagné des conditions de restitution. La caution est remise à l’arrivée du locataire et restituée à la fin du séjour ou quelques jours plus tard, et s’accompagne toujours d’un état d’entrée et de sortie des lieux.

Il est très important d’être vigilant lors de l’état des lieux. Certains locataires n’hésitent pas à camoufler des draps tachés ou un grille-pain cassé. Dans le cas où des dégradations sont constatées suite au départ du locataire, vous avez la possibilité de déduire les frais de réparation ou de remplacement de la caution. Pour cela, vous devez expliquer dans une lettre la raison et fournir une copie de la facture au locataire.

Arnaque et location saisonnière: comment les repérer et quels sont vos recours ?

Lors de la première prise de contact, les vacanciers envoient souvent un message type. Cependant, certains éléments doivent vous mettre la puce à l’oreille dans le cas d’une escroquerie à la location vacances :

  • Votre interlocuteur ne demande pas de photos, ne s’intéresse qu’aux tarifs ou donne des détails exagérés sur son séjour.
  • Il vous donne des dates précises tout en indiquant qu’elles sont flexibles.
  • Il souhaite une location de longue durée de plus d’un mois.
  • Le message est constellé de fautes ou incohérent.
  • Il organise le séjour pour une tierce personne.
  • Il insiste pour avoir votre plus belle chambre ou le logement en entier, quel que soit le prix.
  • Il veut payer par chèque certifié, traite bancaire ou Western Union.

Pour louer sans risque et vous protéger en cas d’arnaque à la location de vacances, nous vous conseillons de vérifier sur Internet l’adresse email de la personne ou si son nom existe, sur Facebook, par exemple. Proposez toujours un appel téléphonique avant toute transaction financière. Si une demande vous paraît suspecte, ne répondez pas et fiez-vous à votre intuition. En dernier recours, vous pouvez également appeler votre banque pour refuser un paiement. Pour vous prémunir d’une annulation à la dernière minute, vous pouvez demander un acompte non remboursable afin de bloquer la réservation.

Quelques témoignages d’arnaques à la location de vacances :

Chèque impayé :

Carole P., Aix-en-Provence : « J’ai réservé deux semaines à une famille. Ils m’ont retourné rapidement les 50 % d’acompte. Quelques jours avant leur arrivée, le solde n’était toujours pas payé, mais ils m’assurent avoir donné l’ordre de virement à leur banque. A la fin du séjour, toujours rien. Ils finissent par me faire un chèque qui m’a été retourné par ma banque avec un courrier expliquant que le compte avait été clôturé. »

Plus de vacanciers que prévu

Philippe V., Lacanau : « Ma maison de vacances peut accueillir jusqu’à 8 personnes. J’ai loué mon logement à deux familles l’été dernier. La première est arrivée pour prendre les clés. Deux jours plus tard, le voisin m’avertit qu’il y a des toiles de tente dans le jardin et une douzaine de personnes. Lorsque je me rends sur place, on me dit que c’est pour « dépanner » des amis. Toujours est-il qu’il y avait cinq personnes de plus. »

Les frais de virement à votre charge

Véronique A., Saint-Malo : « J’étais en contact avec une famille allemande. Juste avant le paiement de l’acompte, ils me demandent de leur rembourser les frais de virement à l’international, chose que je trouve étrange puisque c’est eux qui veulent louer. Dans le doute, j’ai annulé la réservation. »

4 bonnes raisons de passer par un professionnel de la location saisonnière

Entre escroquerie à la location de vacances, annulation de dernière minute, problème de paiement, éloignement avec le logement, la location saisonnière peut se révéler être un véritable casse-tête et une source de stress. De nombreux professionnels mettent leur savoir-faire et leur expertise à votre service afin de vous aider à louer sereinement et en toute confiance. Mais aussi à…

Gagner du temps :

Les professionnels sont là pour vous aider à répondre aux questions des vacanciers, gérer les réservations et faire l’état des lieux si c’est nécessaire. Maeva.com par exemple, prend en charge le ménage et s’assurent que votre logement soit en parfait état après chaque location.

Eviter les risques de dégradation :

La plupart des organismes de location saisonnière disposent d’une assurance adaptée qui vous couvre et protège des risques de dégradation de votre logement. Par exemple, chez maeva.com, votre logement est assuré à hauteur de 100 000 € sans franchise. 

Eviter les impayés :

Les professionnels s’assurent du suivi des encaissements et garantissent le paiement de chaque réservation afin que vous perceviez vos loyers. En cas d’annulation ou de litige, ils savent quoi faire et quels sont les recours. Ils s’occupent de tout pour vous, vous n’avez rien à faire.

Pallier la distance avec le logement :

Vous vivez loin du logement que vous louez ? Les professionnels ont toujours des équipes sur place pour remettre les clés à vos locataires et les accueillir même tardivement. Vous n’avez plus à vous déplacer ni craindre les arnaques à la location saisonnière !

Qu’on se le dise, Internet a réinventé la location saisonnière ! Cet outil a facilité la mise en relation des propriétaires avec leurs futurs locataires. Depuis quelques années, la toile a vu naître un grand nombre de sites de location saisonnière sous la forme d’agences immobilières, de plateformes collaboratives et de solutions de gestion locative.

Difficile de vous y retrouver face à l’offre proposée ? Découvrez vos possibilités pour diffuser votre annonce sur un site de location de vacances.

La location saisonnière 2.0

Agences immobilières, plateformes dédiées aux particuliers ou sites de gestion locative : chacun essaie de tirer profit de la situation. Depuis quelques années, les sites de location saisonnière pleuvent sur la toile. Le Bon Coin, Airbnb, Homerez, Bedycasa, Abritel, maeva.com : l’offre s’est largement diversifiée. Les sites de location saisonnière entre particuliers sont certainement ceux qui ont le plus bouleversé le processus. Le propriétaire peut diffuser son annonce partout où il le désire pour multiplier ses chances de trouver des locataires. Le vacancier, quant à lui, peut faire une recherche de locations de vacances et trouver une pépite en quelques clics.

Pourtant, si la procédure paraît simple, elle demande une grande implication de la part des propriétaires, surtout si ces derniers louent à la nuitée. De plus, le rendement dépend de la ville ou de la région où se situe la location. Selon une étude de la Coface publiée en décembre 2016, Paris est la 3ème ville d’Europe où l’offre hôtelière est la plus chère. Notre capitale est l’une des seules villes de France où l’on peut louer à l’année facilement et jusqu’à deux fois plus cher qu’en location classique. Une aubaine pour les propriétaires, rapidement désamorcée par la loi Alur qui impose de nouvelles formalités. Les réglementations tendent à durcir la procédure de location saisonnière et incitent les propriétaires à se tourner vers des professionnels. 

Louer son logement : les différents types de site de location saisonnière

Louer une maison de vacances, un appartement, une chambre d’hôtes ou un logement atypique est un processus en plusieurs étapes. Après avoir rédigé une annonce percutante et pris de belles photos, vous allez devoir faire la promotion de votre bien pour trouver des locataires. Pour réserver leurs vacances, 82 % des Français font une recherche de location de vacances sur internet. Il leur suffit de sélectionner leurs critères (lieu, dates et nombres de personnes) et de choisir les locations de vacances qui les intéressent le plus avant de contacter leurs propriétaires. Pour cela, il existe une pléthore de sites de location saisonnière qui vous permettront de diffuser votre annonce. Chacun possède ses avantages et ses inconvénients.

Les agences immobilières locales

Les agences immobilières locales assurent un service de proximité dédié aux propriétaires et aux locataires. Elles ont fait de leur ancrage local leur point fort et gèrent tout à votre place. Néanmoins, la visibilité de votre annonce dépend fortement de la force commerciale l’agence. Tout dépend du réseau choisi par cette dernière pour diffuser votre location de vacances sur Internet. De plus, elles proposent peu de services complémentaires pour les locataires.

Les sites d’annonces et les plateformes collaboratives

A l’heure où le web explose et où les vacanciers misent sur Internet pour partir à la recherche d’une location de vacances, les sites d’annonces et les plateformes collaboratives ont su renouveler le marché de la location saisonnière en créant des outils simples et accessibles. Vous maîtrisez entièrement le processus de location de votre location de vacances : rédaction de l’annonce, choix du loyer et accueil des locataires. Toutefois, ce processus peut se relever chronophage et vous demandera d’y consacrer du temps, plus ou moins important selon l’attractivité touristique de votre région. Bien que certains sites soient encore gratuits, vous devrez parfois payer une commission ou un abonnement.

Les solutions de gestion locative

Ces dernières années, de nouvelles solutions locatives ont vu le jour sur le marché de la location de vacances entre particuliers. Ces agences de gestion locative, comme maeva.com, ont su tirer leur épingle du jeu en proposant des solutions ultra complètes et parfaitement adaptées aux propriétaires. De la rédaction de votre annonce au service après-vente, en passant par la prise de photos, la diffusion européenne et la gestion des réservations, ces agences s’occupent de tout et vous permettent de louer sereinement, sans avoir à vous occuper de quoi que ce soit.

Nos conseils pour choisir le meilleur site de location saisonnière

Avant de choisir un ou plusieurs sites pour votre location de vacances, il est important de prendre votre temps et de prendre en compte plusieurs paramètres. Inutile de multiplier les sites. L’idéal est de choisir les canaux qui correspondent le mieux à vos besoins et de privilégier la qualité. Un ou deux sites sont largement suffisants pour diffuser votre annonce pour commencer.

Vérifiez la visibilité du site de location saisonnière

En optant pour un site de location de vacances leader, vous aurez probablement plus d’opportunité de louer votre bien. Pour connaître l’influence d’un site, vous avez la possibilité de demander le nombre de visiteurs par mois et le nombre de demandes de réservations par mois. Si cela n’est pas possible, jetez un œil aux commentaires accompagnant les annonces : plus il y en a, plus vous avez de chance que le site soit fréquenté. Par ailleurs, les vacanciers européens représentent une part importante du marché. Nous vous conseillons d’opter pour un site traduit en plusieurs langues pour attirer des locataires internationaux.

Choisissez un site de locations de vacances en adéquations avec votre cible

Le meilleur site de location de vacances pour vous n’est pas nécessairement le plus visité ou le plus populaire ! Parfois, la visibilité ne fait pas tout. Les vacanciers recherchent parfois des sites de locations de vacances précis qui proposent des appartements à la montagne ou dans une région précise par exemple. Ces sites peuvent être une source de diffusion non négligeable.

Analysez les services proposés

Comme nous l’avons vu précédemment, certains sites offrent des services aux propriétaires comme aux locataires, et d’autres n’en proposent aucun. Or, la location saisonnière ne s’improvise pas. Peut-être aurez-vous besoin des conseils avertis d’un spécialiste pour la rédaction de votre annonce, d’un photographe, d’une personne présente pour l’état des lieux et l’accueil de vos locataires ou encore pour la déclaration de vos revenus locatifs. Si une partie des sites de location saisonnière proposent naturellement ces services, d’autres vont plus loin en offrant une assurance, des professionnels joignables pour répondre aux questions de vos locataires, un service de ménage ou encore un service de conciergerie, tout comme le fait maeva.com. Autant de petits plus qui apportent un peu de sérénité au propriétaire comme au locataire et qui peuvent faire la différence.

Etudiez le coût 

Le tarif des sites de locations saisonnières peut se présenter sous forme d’abonnement, de forfait ou de commission. Selon le site, il peut se présenter sous la forme d’un prix de base auquel s’ajouteront des options qui alourdiront la facture. L’idéal est de contacter les sites qui vous intéressent et de leur demander des précisions sur leur coût. Ce qui vous permettra d’étudier les propositions et de choisir le site le plus adapté à vos besoins. Certains sites sont gratuits, mais il faut bien garder à l’esprit que ces sites sont rarement spécialisés en location de vacances et offrent le strict minimum, soit uniquement la diffusion de votre annonce.

Pour conclure, sachez que la plateforme parfaite n’existe pas. Que vous cherchiez un site pour la location de votre appartement de vacances, de votre maison ou de votre mobil-home, tous ont leurs avantages et leurs inconvénients. Prenez simplement le temps de choisir le ou les sites qui correspondent le mieux à vos attentes, à vos besoins et à votre budget. Et gardez à l’esprit que certaines solutions comme maeva.com s’occupent de tout pour vous, de la rédaction à la diffusion de votre annonce sur tous les sites de location saisonnière !

Grâce aux nouveaux outils Internet et à la pléthore de plateformes qui proposent leurs services pour faire de la location saisonnière entre particuliers, louer son logement pendant les vacances n’a jamais été aussi simple.

La demande et l’offre de location touristique ne cessent d’augmenter dans les régions touristiques, mais aussi dans les campagnes. Cela permet de valoriser son bien et de générer des revenus plus ou moins importants. Si vous êtes propriétaire de votre maison principale ou d’une maison secondaire, pourquoi ne pas faire de la location saisonnière ?

Un investissement

Investir dans la location touristique est accessible à tous, que ce soit seul ou en étant accompagné d’un professionnel. Il est facile d’obtenir un prêt bancaire pour financer son projet. Louer son appartement pendant ou pour les vacances est bien plus rentable qu’une location classique. C’est un investissement sûr qui dépend du tourisme, tout en se reposant sur du foncier. Vous pouvez revendre facilement votre bien ou le louer en bail classique. Évidemment, plus le logement sera dans une région touristique et plus l’investissement sera rentable. Vous pouvez louer jusqu’à 30 % plus cher un logement saisonnier qu’une location vide longue durée. Les tarifs, quant à eux, varient de 300 à plus de 2 000 € par semaine en fonction de la région, la surface du logement et les prestations proposées. Vous bénéficiez également d’une fiscalité avantageuse.

Louer votre maison de vacances ou votre appartement pour amortir vos charges annuelles

Si vous avez déjà un bien, vous pouvez le louer en saisonnier quelques semaines par an pour en tirer profit. Face à la demande accrue de location de saisonnière, les propriétaires se laissent de plus en plus séduire par la location touristique. Vous le savez certainement : entretenir une résidence secondaire peu coûter cher. Il faut compter les travaux d’aménagement, les travaux d’entretien, les impôts et les forfaits d’électricité et de téléphone, souvent inutilisés. Des charges lourdes qui pèsent chaque année !

Si vous n’êtes présent que trois ou quatre semaines par an dans votre logement, pourquoi ne pas songer à faire de la location saisonnière ? Cette initiative peut s’avérer très rentable en haute saison si le logement se situe dans une région touristique. Dans tous les cas, les revenus générés pourraient vous permettre d’amortir les charges ou de pouvoir faire quelques travaux pour améliorer votre bien. Un mois de location par an peut suffire pour rembourser tous ces frais !

Vous vous demandez combien pourrait valoir votre bien ? Certains site comme maeva.com vous propose de calculer gratuitement une estimation de vos revenus.

Les avantages de la location saisonnière quand on est propriétaire

Vous pouvez continuer à profiter de votre logement !

Louer sa maison pendant les vacances n’est pas incompatible avec le fait de continuer à profiter de son logement ! Il est tout à fait possible de proposer votre bien en location saisonnière une partie des vacances, et de garder l’autre pour vous. En moyenne, les propriétaires louent leur bien 10 semaines par an en France et jusqu’à 30 semaines dans les régions les plus touristiques. Vous continuez alors à pouvoir partir en vacances à votre guise tout en générant un revenu supplémentaire ou financer vos prochaines vacances.

C’est facile !

Louer en saisonnier est (presque) un jeu d’enfant ! Hormis quelques réglementations à connaître avant de s’engager à louer, les démarches de mise en location sont simples et rapides. La plupart des propriétaires gèrent eux-mêmes la location de leur maison de vacances. Il suffit de poster une annonce, de répondre aux demandes de réservations, d’encaisser les paiements, de remettre les clés aux locataires ou encore de faire le ménage entre chaque vacancier. Les contraintes sont moindres lorsque l’on est à proximité. Toutefois, la location saisonnière peut être chronophage si on gère tout de A à Z. Il est parfois plus simple de faire appel à une agence immobilière locale ou une solution de gestion locative telle que maeva.com. Toutes les étapes de l’avant et l’après location (même les petits tracas) sont gérées par des professionnels, vous n’avez rien à faire et vous êtes rassuré.

Cela met en valeur votre bien !

Lorsque l’on a une maison ou un appartement inoccupé, il perd de sa vitalité et peut se dégrader au fil du temps. Louer votre logement pour les vacances permet de lui redonner un peu de peps et une valeur d’usage. Il devient essentiel d’entretenir, de valoriser et d’améliorer le logement afin que celui-ci demeure attractif et se démarque de la concurrence.

Louer en saisonnier : quel type de logement peut-on proposer ?

Du fait d’une demande de location saisonnière en forte croissance ces dernières années, l’offre n’a cessé d’augmenter et de se diversifier. Il est possible de proposer en location saisonnière sa résidence secondaire, son logement principal, une yourte, un tipi, une chambre, une villa ou encore un chalet. Tous les types de logement peuvent être loués, à tous les budgets et pour différentes cibles de vacanciers : famille, couple, groupe d’amis ou solo.

Outre la maison et l’appartement de vacances, vous pouvez également proposer la location d’un mobil-home, très populaire auprès des familles. Placés dans des campings, ils disposent de toutes les commodités : espace aquatique, supermarché, animations et sites touristiques à proximité. Ce genre de location est souvent loin du domicile des propriétaires. Plusieurs organismes, dont maeva.com, prennent en charge la gestion locative des mobil-homes.

Vous pouvez également proposer votre maison principale pendant vos propres vacances pour rentabiliser une partie de vos vacances grâce au loyer perçu. Enfin, double avantage : il y aura une présence dans votre logement pendant votre absence. Vous n’avez plus à craindre les cambrioleurs ! Louer son logement pendant les vacances impose toutefois quelques précautions. Il faudra veiller toutefois à placer les objets de valeurs dans une pièce fermée.

La fiscalité de la location saisonnière répond à des règles spécifiques. Tout comme les loyers et les charges perçus pour une location classique, la location meublée de tourisme est soumise à une imposition sur le revenu locatif. La déclaration d’une location saisonnière se fait dans la catégorie des bénéfices industriels et commerciaux (BIC) et peut se faire sous deux régimes d’imposition. Explications !

Fiscalité LMNP : choisir le bon régime pour sa location saisonnière

Que vous proposiez un logement en location saisonnière pour quelques semaines par an ou à l’année, les revenus locatifs perçus sont imposables. Contrairement à une location vide qui est à déclarer dans la catégorie des revenus fonciers, la location saisonnière, nécessairement meublée, est à déclarer dans la catégorie des bénéfices industriels et commerciaux (BIC). Vous devez ensuite choisir entre le régime micro-BIC ou réel simplifié lorsque vous remplissez votre déclaration de location saisonnière. Le régime choisi dépendra du montant de vos recettes annuelles ou de vos charges.

Est considérée comme « chambre d’hôtes » une chambre chez l’habitant, louée à la nuitée. La prestation inclut le petit-déjeuner et le linge de maison, ainsi que le partage des pièces communes.

Déclaration des revenus d’une location saisonnière

Pour faire la déclaration de votre location saisonnière, vous devez télécharger le formulaire 2042 C PRO et remplir la case « 5ND » s’il s’agit d’une location saisonnière classique ou la case « 5NG » s’il s’agit d’une location saisonnière classée. Votre tranche d’imposition dépendra quant à elle de vos revenus cumulés, c’est-à-dire du montant de votre imposition sur votre location saisonnière et de vos autres revenus.

Il existe toutefois une exception sur l’imposition de la location saisonnière.

Le régime forfaitaire ou micro-BIC : le régime idéal pour les particuliers !

Le régime forfaitaire, aussi appelé micro-entreprise ou micro-BIC, est très avantageux puisqu’il est particulièrement simple et ne nécessite aucune compétence comptable. Sous ce régime, la fiscalité de votre location saisonnière dépend seulement du statut de votre logement : soit une location classique ou une location classée.

Le cas d’une location « classique » :

Est considérée comme étant une location « classique » un hébergement qui n’est ni un gîte rural classé, ni un meublé de tourisme classé, ni une chambre d’hôtes.

Le régime micro-BIC vous permet de bénéficier d’un abattement de 50 % sur vos recettes annuelles, soit les loyers et les charges perçus par la location de votre logement de vacances. En d’autres termes, seuls 50 % de vos revenus provenant de votre location de vacances sont imposables. En contrepartie, vous ne pouvez rien déduire et le seuil de vos revenus générés par votre location saisonnière doit être inférieur à 32 900 €. Dans ce cas, vous bénéficiez automatiquement de régime, vous n’avez rien à faire.

Le cas d’une location « Meublé de tourisme » :

Est considéré comme étant une location « Meublé de tourisme » un gîte rural classé, une chambre d’hôtes, une location classée.

Si votre location est classée « Meublé de tourisme », vous aurez droit à un abattement de 71 %. En d’autres termes, seuls 29 % de vos revenus provenant de votre location de vacances sont imposables. Dans ce cas, le plafond de vos recettes est porté à 82 200 €. Ce régime fiscal est donc plus avantageux que le premier.

Le régime réel : un régime complexe qui permet de faire des économies

Autre solution concernant une location meublée et la fiscalité : le régime réel, qui permet de déduire les charges de vos revenus locatifs : amortissement, frais financiers, travaux et même les charges liées à la location, tels les frais d’annonces par exemple ! Pour dépendre du régime réel, il vous suffit d’envoyer un courrier à votre service des impôts en précisant votre souhait d’être placé sous ce régime d’imposition avant le 1er février. Cette option est prise en compte pour deux ans et reconduite tacitement par tranche de deux ans.

Le régime réel, bien que plus complexe que le régime forfaitaire permet de réaliser de vraies économies. Il nécessite cependant  de tenir un livre comptable. Nous vous recommandons de demander conseil à un fiscaliste et plus particulièrement un expert comptable spécialiste de la fiscalité LMNP (Location de Meublée Non Professionnelle). Il sera en charge de toutes les démarches et pourra créer votre bilan comptable annuel à joindre avec le formulaire 2042 C PRO.

Le cas d’une location « classique » :

Vous êtes automatiquement rattaché à ce régime si vos recettes annuelles sont supérieures à 32 900 €. Vous pouvez choisir délibérément le régime réel si vos frais et vos charges déductibles excèdent l’abattement forfaitaire, soit plus de la moitié de vos recettes.

Le cas d’une location « Meublé de tourisme » :

Vous êtes automatiquement rattaché à ce régime si vos recettes annuelles sont supérieures à 82 200 €. Vous pouvez choisir délibérément le régime réel si vos frais et vos charges déductibles excèdent l’abattement forfaitaire, soit 71 % de vos recettes.

Exemple de fiscalité d’une location saisonnière sous le régime réel simplifié et régime micro-BIC :

(Source : La Fiscalité du Particulier Loueur en Meublé Non Professionnel)

Voici un comparatif entre le régime réel simplifié et le régime micro-BIC pour vous aider à comprendre les nuances entre les deux régimes et savoir lequel convient le mieux à votre situation.

La location meublée saisonnière est soumise à une réglementation dont il faut prendre connaissance pour être en règle avec la loi et être protégé en cas de problème ou de contrôle fiscal. Dans cet article, nous vous présentons quelques éléments de la législation à connaître avant de s’engager. De la loi Warsmann à la loi Alur, en passant par le contrat de location et les assurances, voici ce que vous devez savoir sur la législation de la location saisonnière.

Législation et location saisonnière : ce que dit la loi

Il existe plusieurs lois utilisées pour la réglementation de la location saisonnière, soumise au Code civil et du Code du tourisme. Pour l’instant, aucune loi ne réglemente les prix. Vous êtes libre de fixer votre loyer, à condition de rester raisonnable bien sûr.

La loi Warsmann

Avant de mettre votre bien en location saisonnière, la loi impose de prendre quelques dispositions. Par exemple, la loi Warsmann (22/03/2012) impose de déposer le formulaire Cerfa 14004*02 à la mairie de la commune, sauf s’il s’agit de votre résidence principale. Cette déclaration est obligatoire pour toutes les locations meublées à des fins touristiques, sous peine d’être condamné à une amende de 45 à 450 €. Il vous suffit d’indiquer vos informations personnelles et la description du logement en question : nombre de pièces, nombre de personnes pouvant être accueillies, ainsi que les périodes de location. Cette déclaration n’est pas transmise aux impôts, mais permet de réclamer la taxe de séjour.

La loi Alur et la location saisonnière : le cas particulier de la location saisonnière à Paris

La loi Alur, aussi appelée loi Duflot, définit la location saisonnière comme le fait de « louer un local meublé destiné à l’habitation de manière répétée pour de courtes durées à une clientèle de passage qui n’y élit pas domicile ». Cette loi a été instaurée dans le but de réguler (et limiter) le nombre de logements dédiés à la location saisonnière dans les zones dites tendues. Elle impose aux propriétaires d’obtenir une autorisation visant à changer l’usage du logement.

Elle s’obtient auprès de votre mairie et concerne la location saisonnière à Paris, dans les départements d’Ile-de-France et les villes de plus de Cette autorisation est difficile à obtenir et onéreuse. A Paris, la législation sur la location saisonnière est plus stricte. En cas de contrôle, vous pouvez être condamnée à 25 000 € d’amende et à une astreinte de 1 000 € par jour si vous ne pouvez pas justifier de cette autorisation. Les communes tendent de plus en plus à durcir la réglementation de la location saisonnière entre particuliers du fait la forte croissance du marché.

Si vous passez par une agence ou un site internet tel que maeva.com la loi vous oblige à déclarer sur l’honneur l’obtention de cette autorisation. Vous n’êtes pas concerné par la loi Alur s’il s’agit de votre résidence principale et que vous l’occupez au moins 8 mois par an.

Réglementation et location saisonnière : ce qu’il ne faut pas oublier

Le contrat de location saisonnière

Il est obligatoire d’établir un contrat de bail. En effet, la loi sur la location saisonnière prévoit que « toute offre ou contrat de location saisonnière doit revêtir la forme écrite et contenir l’indication du prix demandé ainsi qu’un état descriptif des lieux ». Ce contrat permet de vous protéger et votre locataire en cas de litige. Vous pouvez trouver des modèles de contrat sur Internet ou le faire établir par une société de gestion location telle que maeva.com.

Plusieurs informations doivent apparaître sur votre contrat de location saisonnière (droit commun des contrats, code du tourisme, décret du 14 février 1967) :

  • Vos coordonnées, ainsi que l’adresse de votre location de vacances ;
  • Les jours d’arrivée et de départ, ainsi que les heures ;
  • Le nombre maximum de personnes possibles ;
  • Vos restrictions concernant les animaux et les fumeurs ;
  • Le coût total de la location et les taxes de séjour ;
  • Les conditions de paiement et d’acompte ;
  • Votre politique d’annulation ;
  • La superficie habitable et l’inventaire du mobilier intérieur (et extérieur s’il y a lieu). 

Contrairement à une résidence principale, le locataire n’est pas en mesure de visiter le bien avant sa location. L’idéal est de fournir un descriptif le plus détaillé possible pour éviter toute déconvenue. La signature du bail de location saisonnière se fait souvent à distance et peut être faite par le biais d’une signature électronique, qui a la même valeur juridique qu’une signature manuelle.

Les cas particuliers :

Le cas des copropriétés

Si votre bien se trouve dans une copropriété, vous devez vérifier que celle-ci ne s’oppose pas à la location saisonnière. En effet, dans le but de préserver la tranquillité des habitants d’un immeuble, une copropriété peut interdire la location saisonnière ou les activités commerciales. Cette information se trouve dans le règlement de la copropriété.

Le cas des locataires

Si vous êtes locataire et que vous souhaitez louer votre appartement en location saisonnière quelques semaines par an, vous devez préalablement obtenir l’autorisation écrite de votre propriétaire. En effet, étant vous-même locataire, vous ne ferez pas de la location, mais de la sous-location. A défaut, vous vous exposez à des sanctions qui peuvent aller jusqu’à la résiliation du bail.

Les assurances :

Que vous soyez propriétaire ou locataire, vous devez vous assurer que votre assurance habitation couvre bien les risques en cas de location saisonnière ou demander une extension de garantie à votre assureur. Ceci afin de protéger votre logement, mais aussi les vacanciers.

Comme vous pouvez le constater, la location saisonnière exige d’être familiarisé avec la législation française. En cas de doutes, vous pouvez confier votre bien à une agence de gestion location telle que maeva.com. Des professionnels sont à votre disposition pour vous orienter et vous conseiller.

La location saisonnière est, par définition, la mise à disposition d’un logement meublé pour une courte durée, soit inférieure à 3 mois. Vous pouvez ainsi louer votre bien à la nuit, à la semaine ou au mois. Elle s’inscrit généralement dans le cadre de la saison touristique, mais vous êtes libre de mettre votre logement en location de vacances toute l’année.

En tant que 1ère destination touristique mondiale, la France séduit chaque année près de 80 millions de vacanciers étrangers. A cela s’ajoutent les 85 % de français qui ont choisi de découvrir les trésors de l’hexagone. Il n’est donc pas étonnant de voir fleurir des locations de vacances entre particuliers un peu partout en France.

Décryptage de la location meublée saisonnière !

Location saisonnière VS location de longue durée

Contrairement à la location meublée de longue durée, la location meublée de tourisme est régie par plusieurs règles :

  • La location saisonnière est de courte durée. La loi Hoguet est claire en ce qui concerne la location de vacances entre particuliers : « Est considérée comme une location saisonnière pour l’application de la présente loi la location d’un immeuble conclue pour une durée maximale et non renouvelable de quatre-vingt-dix jours consécutifs.».
  • Elle est déterminée par des dates conclues au moment de la réservation et établies lors du contrat.
  • Etant temporaire, elle est nécessairement meublée et équipée, pour le confort des vacanciers ;
  • Il est impossible, dans la plupart des cas, pour le locataire comme pour le propriétaire de prolonger la location du bien. Avec maeva.com, il est possible, sous réserve de disponibilités, de prolonger le séjour.
  • La location de vacances est destinée à une clientèle de passage.
  • De ce fait, le logement ne peut être occupé que pour des fins touristiques et ne peut, en aucun cas, être considéré comme une résidence principale par le locataire. Il est possible, a contrario, de mettre sa résidence principale en location de vacances pour quelques nuits ou quelques semaines afin de dégager des revenus complémentaires.

Les différents types de locations saisonnières

Que vous soyez propriétaire d’un château dans les Pays de Loire, d’une villa dans le Lubéron ou d’une yourte en Dordogne, sachez que tous les types de bien peuvent être loués le temps d’un week-end ou des vacances. Parmi les différents types de locations saisonnières, on trouve également des mobil-homes comme le propose maeva.com, des gîtes, des péniches ou encore des chalets. Si les hébergements insolites et atypiques attirent de plus en plus, la location de maisons de vacances et la location d’appartements de vacances restent les plus classiques et les plus prisées. Vous pouvez également louer votre résidence principale le temps de vos vacances si vous le souhaitez.

Les éléments déterminants d’une location pour les vacanciers restent le nombre de couchages possibles et le prix. Une famille avec enfants ne choisira probablement pas le même type d’hébergement qu’un groupe d’amis ou un couple. La diversité des logements proposés permet de toucher toutes les cibles et tous les budgets. Pour valoriser votre bien, nous vous recommandons de faire une demande de « Meublé de tourisme ». Ce label reconnu rassurera les vacanciers et augmentera votre taux de réservations.

Le type de location meublée saisonnière dans lequel vous souhaitez investir devrait dépendre de votre style de vie. Si vous souhaitez profiter de votre bien quelques semaines par an (autant joindre l’utile à l’agréable), il est plus judicieux d’opter pour un appartement de vacances à la montagne si vous êtes amateur de ski ou une maison à la mer si vous préférez les sports nautiques. Vous pouvez également choisir votre logement de vacances en fonction du lieu. Si vous avez peu de temps à consacrer à la location saisonnière, mieux vaut confier votre bien à un service de gestion locative telle que maeva.com, qui prendra tout en charge pour vous, de vos demandes de réservation à l’accueil de vos vacanciers. Ainsi, vous rentabilisez votre investissement et continuez à en profiter quand vous le souhaitez.

Comprendre la Location meublée non professionnelle (LMNP)

La location meublée non professionnelle (LMNP) peut être utilisée dans le cadre de la location saisonnière. Elle concerne uniquement les hébergements dont les revenus générés sont inférieurs à 23 000 € par an ou 50 % de vos revenus globaux annuels. En tant que loueur non professionnel, vous ne devez pas être inscrit au Registre du Commerce et des Sociétés. Si vous investissez dans une résidence neuve, vous pourrez récupérer la TVA. 

Ce statut vous offre deux choix de régimes fiscaux : le régime micro BIC et le régime réel. Si vous optez pour le régime micro-BIC, vous aurez droit à un abattement forfaitaire de 50 % sur les loyers encaissés, mais vous devrez payer 15,5 % de prélèvements sociaux. Attention toutefois : si vous dépassez les 23 000 €, votre activité sera considérée comme professionnelle et vous devrez vous acquitter de 22,70 % de charges sociales.